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LA CAUSERIE MATHÉMATIQUE
 

Merci de nous faire part de vos commentaires! Vous pouvez communiquer avec Ariane Bélanger-Fortin si vous avez des questions suite à cette formation.

Une causerie mathématique (number talk) est une courte discussion de groupe (5 à 15 minutes) autour d’un problème de calcul mental. Les discussions de groupes sont reconnues comme étant l'un des facteurs les plus puissants pour l'apprentissage (Hattie, 2017). 

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Les échanges mathématiques permettent de développer le sens du nombre,  la compréhension des concepts, la fluidité et la flexibilité des élèves. C'est une bonne stratégie à utiliser pour développer des stratégies de calcul mental.

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Les problèmes sont souvent présentés sous la forme d’une image ou d’une photo. Les élèves peuvent trouver plus d’une façon de résoudre ces problèmes.

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Les élèves peuvent réfléchir quelques minutes individuellement, puis échanger entre eux. Une discussion de groupe aura finalement lieu pour faire ressortir les différentes stratégies des élèves. Le processus est plus important que le résultat obtenu.

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Éviter de demander aux élèves de lever la main lorsqu'ils ont trouvé une solution (pour laisser aux autres élèves le temps de réfléchir). Vous pouvez convenir d'un signe plus discret (par exemple, lever le pouce devant sa poitrine, lever 2 doigts si l'élève a trouvé 2 solutions).

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Article: En quoi le bavardage mathématique est-il une stratégie gagnante pour les élèves ayant des troubles d'apprentissage? https://www.taalecole.ca/a-d-e-bavardages-mathematiques/

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Voici un site intéressant qui propose différentes images qui peuvent servir de point de départ pour des causeries mathématiques au sujet des nombres.

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Pour tous:

Activités TOUJOURS, PARFOIS, JAMAIS

Les activités « toujours, parfois, jamais » sont populaires en anglais (ASN : Always, sometimes, never). Les élèves doivent classer des énoncés mathématiques dans les colonnes appropriées (toujours vrai, parfois vrai et jamais vrai). Ils doivent expliquer leur raisonnement, traduire les situations en équations ou inégalités, donner des exemples et des contre-exemples, etc. Ces activités sont riches en raison des échanges mathématiques qu’elles suscitent. Voici quelques exemples d'énoncés.

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3e cycle:

Les jeux QELI (quel est l’intrus) sont 4 images présentées aux élèves. Ceux-ci doivent trouver l’intrus parmi les images présentées. Ces activités sont intéressantes puisqu’il y a plusieurs réponses possibles et que les élèves doivent expliquer leur choix. Par exemple :

  • Le 43: c’est l’intrus car c’est le seul nombre qui n’est pas carré.

  • Le 43: c’est l’intrus car c’est le seul nombre premier.

  • Le 9: c’est l’intrus car c’est le seul nombre qui est un chiffre.

  • Le 9:  c’est l’intrus car c’est le seul dont la somme des chiffres le constituant n’est pas égale à 7.

  • Le 16: c’est l’intrus car c’est le seul nombre qui est pair.

  • Le 16: c’est l’intrus car c’est le seul à avoir 4 diviseurs.

  • Le 25: c’est l’intrus car c’est le seul qui est divisible par 5.

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Des images pour le 3e cycle sont disponibles dans l’outil de recherche (niveau d’enseignement) à droite de la page.

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Autres exemples d'occasions pour des causeries mathématiques:

  • Subitisation

  • Combien jusqu'à...?

  • Représentation de nombres (nombres naturels, fractions, nombres décimaux) de différentes façons

  • Décomposition de nombres

  • Les routines qui sont disponibles dans la planification globale de chaque niveau

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AUTRES RESSOURCES:

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